Il y a eu plusieurs cas où des accusations d’insider trading ont été associées à des entités liées à Donald Trump, bien qu’il n’ait pas été directement impliqué dans ces affaires. Voici quelques exemples clés :
1. Conflits d’intérêts de Trump et la loi STOCK
En 2016, des inquiétudes ont été exprimées quant à la possibilité que les activités commerciales de Trump puissent potentiellement violer la loi STOCK, qui interdit l’insider trading aux fonctionnaires du gouvernement, y compris le président. Cette loi restreint l’utilisation d’informations non publiques pour un gain personnel, et des avocats spécialisés en éthique ont soutenu qu’elle pourrait s’appliquer aux entreprises immobilières de Trump si celui-ci partageait des informations confidentielles avec des membres de sa famille impliqués dans ses affaires.
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2. Affaire d’insider trading liée à la société médiatique de Trump
En 2021, un dirigeant financier nommé Bruce Garelick a été accusé et plus tard condamné pour insider trading lié à la fusion entre Digital World Acquisition Corp. (DWAC) et Trump Media & Technology Group. Garelick était membre du conseil d’administration de DWAC et aurait prétendument informé d’autres personnes de la fusion imminente, ce qui a conduit à des profits illégaux de plus de 22 millions de dollars. Trump et sa société médiatique n’ont pas été impliqués dans cette affaire.
3. Allégations d’insider trading concernant le memecoin TRUMP
En 2025, des analystes de blockchain ont soulevé des soupçons d’insider trading liés au lancement d’un memecoin basé sur Solana appelé TRUMP. Les allégations se sont concentrées sur un portefeuille crypto qui a été financé juste avant le lancement du jeton et a rapidement acquis une quantité importante de celui-ci, suggérant une connaissance potentielle interne.
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Ces cas mettent en lumière la surveillance continue des transactions financières associées à Trump et à ses entités, bien qu’ils ne l’impliquent pas nécessairement directement dans des activités d’insider trading.
