Devenir entrepreneur est devenu comme un éffet de mode
De nos jours, devenir entrepreneur est devenu comme un éffet de mode au point où les écoles ont des fillières et des diplômes en ‘entrepreneuriat’.
Cependant, les gens connaissent-ils vraiment ce que c’est qu’un entrepreneur ? Être un entrepreneur veut-il dire posséder ou diriger une entreprise ? Les gens ont-ils vraiment conscience des obstacles et des sacrifices que cela demande ?
La plupart des gens ont les yeux rivés sur le résultat final, le succès final visible par tous; et ils se disent que ces entrepreneurs ont de la chance mais ils n’ont aucune imagination de la vallée sombre et lugubre que les entrepreneurs traversent.
Être entrepreneur c’est pouvoir supporter les critiques, le rejet, les insultes…
Être entrepreneur c’est se donner la capacité de pouvoir affronter et surmonter chaque obstacle qui se drèssera sur le chemin du succès.
Être entrepreneur, c’est courir au quotidien, affronter le monde, à la recherche de nouvelles voies et moyens pour alimenter son compte bancaire.
Être entrepreneur, c’est supporter l’isolement, la solitude, frôler souvent la dépression et même parfois faire de la dépression.
Beaucoup pensent que les entrepreneurs sont des personnes qui n’ont pas de coeur et qui sont sans pitié quand à la façon dont ils agissent et réagissent; cependant ces mêmes personnes ne voient jamais, la souffrance et les sacrifices que les entrepreneurs ont dû traverser pour se maintenir au niveau de succès où ils sont.
Les nuits blanches passées seuls à réflechir, le manque de soutien, les avis négatifs, les batons dans les roues qu’ils ont dû éviter, passent inaperçu.
L’entrepreneur est semblable à un soldat qui a survécu à la guerre, et qui jouit de la liberté qu’il s’est battu pour avoir.
L’entrepreneur est un bléssé de guerre avec beaucoup de cicatrices qui lui rappellent chaque jour, à chaque instant, à chaque minute d’où il vient et tout ce qu’il a dû endurer pour en arriver au succès qu’il connait.
Être entrepreneur ne veut pas dire mettre un produit sur le marché, créer une entreprise et quand on a enfin pu attirer le succès vers soi, se retourner aller dormir sur ses lauriers.
Quand l’entrepreneur arrive enfin a attirer le succès vers lui, c’est là que la taille de ces problèmes augmente , et qu’il a encore l’obligation de toujours grandir plus que ces problèmes, pour les dominer.
Être entrepreneur c’est accepter ‘perdre’ une partie de sa vie ( sociale, épanouissement, confort, des amis, la famille, …) pour vivre le reste de sa vie comme il l’entend.
Selon le cas certains entrepreneurs auront du retard à certains niveaux de leur vie, comme le retard à fonder une famille, le retard dans certains aspects de la vie vourante, etc. Peu importe !
Être entrepreneur c’est faire des choix, et l’un des principaux choix c’est l’acceptation du fait que l’on ne peut pas tout avoir dans sa vie, mais que l’on tient à avoir du succès et à apporter de la valeur autres en contrepartie d’une rénumération.
Être entrepreneur c’est accepter de se mettre dans des situations de malaises pour obtenir un résultat final positif;
Seriez-vous capable, de licencier des employés qui donnent tout et qui font bien leur travail, mais parce que vous êtes simplement amené à changer de stratégie ?
Être entrepreneur c’est accepter de souffrir, c’est accepter le rejet, c’est accepter de survivre pour construire, c’est accepter de supporter beaucoup de stress et se sentir à l’aise dans ce stress.
Si vous êtes prêts à souffir;
Si vous êtes prêts à être rejété;
Si vous êtes prêts à vivre seul;
Si vous êtes prêts à supporter beaucoup d’incertitudes;
Si vous êtes prêts à fournir l’effort quand tout vos partenaire abdiquent;
Si vous êtes prêts à continuer seul à la rencontre de votre succès;
Si vous êtes prêts à dormir le ventre vide, à vous lever certains jours fauchés, sans le sous, les comptes vides et beaucoup de charges en perspectives;
Si vous êtes prêts à traverser la vallée SOMBRE, LUGUBRE, qui se trouve sur ce chemin;
Soyez le bienvenu dans ce cercle restreint dans lequel beaucoup se considèrent à tort d’y être, alors qu’il n’en est rien.